J'ai reçu un appel d'un client potentiel qui se trouvait dans une situation très grave. Son médecin lui avait diagnostiqué une maladie coronarienne à l'âge de 24 ans. Il souffrait d'hypertension artérielle et de cholestérol et lui avait prescrit des médicaments pour abaisser ces taux. Ces médicaments sont présents dans son organisme depuis plus de deux ans. Cet homme de 24 ans a développé un blocage dans la main. Elle s'est enflammée puis s'est rompue, entraînant une possible amputation. Bien que la situation ait été gérée par des mesures anti-inflammatoires, le jeune homme a continué à prendre son médicament contre le cholestérol sans le modifier, même après l'incident. Six mois plus tard, le jeune homme souffrait d'une nouvelle obstruction. Cette fois, il s'agissait d'un point critique qui ne pouvait être traité sans une spécialisation.
Faits sur la santé
Les médecins locaux n'avaient pas l'expérience nécessaire pour le soigner. Ils lui ont dit qu'il n'y avait personne dans la région qui pouvait le soigner. Effrayé et désespéré, il m'a appelé. Je lui ai posé quelques questions pour m'aider à comprendre sa situation lorsqu'il m'a appelé. Quel âge avez-vous ? Souffrez-vous d'hypertension artérielle ou d'hypercholestérolémie ? Avez-vous des antécédents familiaux d'hypertension artérielle, d'hypercholestérolémie ou de maladie cardiaque ? Y a-t-il des antécédents de cancer du côlon, de polypes du côlon, de problèmes intestinaux ou de cancer du côlon dans votre famille ? Quelle est votre origine ethnique ? Je lui ai conseillé de demander de l'aide immédiatement, dans la semaine.
J'ai suggéré à ses médecins de lui recommander de consulter un chirurgien neuro-vasculaire cérébral. Lui et ses amis ont cherché sur Internet des spécialistes qui pourraient le recevoir en quelques jours. Je craignais que la situation ne soit trop compliquée et qu'il ne soit en danger. Je lui ai conseillé de m'appeler à son retour de l'opération pour que nous puissions contrôler sa tension artérielle et son cholestérol afin que cela ne se reproduise plus. Il voulait savoir pourquoi cela s'était produit. Il avait pris les médicaments qui lui avaient été prescrits comme indiqué. Je lui ai expliqué que les médicaments doivent non seulement agir, mais aussi être utilisés par l'organisme. Il ne faut rien ajouter aux médicaments qui sont destinés à réduire un problème particulier dans l'organisme.
Cholestérol
Un médicament contre le cholestérol pour réduire la quantité de graisse dans le sang. Ensuite, vous pouvez manger des graisses ou des choses qui produisent des graisses. Un médicament contre le diabète qui contrôle le taux de sucre dans le sang. Vous pouvez alors manger du sucre ou des glucides qui se transforment en sucres. Un médicament contre la goutte qui est utilisé pour traiter la goutte. Ensuite, vous pouvez manger des aliments riches en acides ou qui créent des acides. Ce genre de choses peut rendre les médicaments inefficaces et entraîner une perte de temps et d'argent.
Il a déclaré qu'il prenait ce médicament depuis deux ans et que son taux de cholestérol n'en avait pas été affecté. Je lui ai expliqué qu'il existait un moyen de réduire son cholestérol. Il pouvait faire de l'exercice, suivre un régime alimentaire restreint et prendre quelques suppléments. Une fois qu'il serait en bonne santé, nous commencerions le programme. La plupart des gens consultent leur médecin lorsqu'ils se sentent malades. Ils veulent une solution rapide. Une pilule ou une piqûre qui fonctionne instantanément et qui n'entraîne aucune gêne ni aucun effort. La triste vérité est que la "possession" implique la "responsabilité", alors que la "responsabilité" exige l'"action".
Café et caféine
La caféine est-elle bonne ou mauvaise pour la santé ? Demandez autour de vous et vous n'obtiendrez pas de réponse cohérente. Même si la réponse est négative, il n'y a souvent pas de données pour l'étayer. Quelle est la vérité ? Il semble que la modération soit la clé du succès dans de nombreux aspects de la vie. Une petite quantité de quelque chose peut être bénéfique, comme c'est le cas pour beaucoup d'autres choses. Il est prouvé qu'une consommation faible à modérée de café peut réduire le risque de développer la maladie de Parkinson, un cancer ou un accident vasculaire cérébral. Boire trois à cinq tasses de café par jour peut réduire certains types de cancer de la peau de 20%. Une étude réalisée il y a quelques années a révélé une augmentation de 2 à 3 fois du risque de maladie de Parkinson chez les personnes qui ne buvaient pas de café.
Bien que les fondements scientifiques de ce phénomène ne soient pas clairs, on pense que la caféine peut réduire la dégénérescence des cellules nerveuses. La statistique "20% chez les femmes" est à nouveau liée au risque d'accident vasculaire cérébral. Il a été démontré que le café réduit d'environ 19% la probabilité que les femmes soient victimes d'un accident vasculaire cérébral. Les hommes, en revanche, n'ont pas cette chance. On prétend également que la caféine et le café peuvent réduire les troubles cognitifs chez les femmes âgées et, plus étrangement, les symptômes de la goutte.
Caféine
De nombreuses études montrent les effets négatifs de la consommation de café, en dépit des avantages qu'on lui attribue. La caféine est principalement utilisée comme stimulant. C'est pourquoi des milliers de personnes prennent une tasse de café chaque matin. Bien qu'elle ait un effet à court terme sur la tension artérielle, elle n'a pas d'effets à long terme. Elle est déconseillée aux personnes souffrant d'hypertension (hyperglycémie). Il a également été associé à une augmentation du cholestérol sanguin, un autre facteur de risque de maladie coronarienne. Il n'existe aucune preuve solide, évaluée par des pairs, que le café ou la caféine soient nocifs à long terme. Il est certain que cette question fera l'objet d'études et de recherches au fil des ans. Les machines à café et les cafés ordinaires sont omniprésents dans les bureaux à travers le pays. Il semble que le café doive être consommé avec modération afin d'éviter tout danger potentiel et de profiter de ses bienfaits.